Les Gastropodes (Turbo)
Polyplacophores (Les Chitons)
Les Squaphopodas (les dentales)
Les Céphalopodes (Nautiles)
Les types de pêche à pieds :
La récolte d’animaux fixés visibles ou cachés sous les algues (moules, bigorneaux,…)
La recherche :
Qui consiste à explorer les failles et le dessous des rochers à l’aide des doigts ou de crochets (Ormeaux ,étrilles, tourteaux,…)
La pêche à l’aide d’outils bien spécifiques :
épuisette, fouenne… et qui consiste à pêcher dans le bord de l’eau (crevettes grises, bouquets…)
Le grattage :
Qui consiste à rechercher les animaux enfouis dans le sable après avoir déceler auparavant les indices de leur présence : trous en 8, 2 petits trous … (couteaux, coques, palourdes …)
Tout commence par une préparation minutieuse. D’abord le choix de la zone et l’étude du calendrier des marées de cette zone. Une fois la période trouvée il faut connaître la disponibilité de ses compagnons.C’est Ok pour les collègues !
Reste à déterminé le lieu exacte en fonction des prises convoitées et aussi de la période . Maintenant que l’on a brossé le tableau on va pouvoir se concentrer sur le matériel
En fonction du type de prises on optera pour le couteau, le crochet à crabe, la fourche, le petit râteau …Se renseigner sur les outils légaux à utiliserEt dans quoi va-t-on mettre nos prises ? là aussi la réflexion se mêle au côté pratique. Un objectif : en fin de pêche il faut nettoyer à l’eau de mer les sujets prélevés. Donc mettre au fur et à mesure notre précieuse pêche dans un filet (hormis les vers qui eux nécessite une boite spéciale à fond grillagé) qui pourra être fermé. En fin de pêche il suffit de secouer énergiquement le filet dans l’eau de mer en s’enfonçant dans celle-ci pour rechercher une eau plus claire.
L’ activité :
Elle semble ne demander aucun effort est en trompe l’œil. En effet qui ne l’a-t-il pas pratiqué sans en éprouver quelques difficultés musculaires le lendemain ? donc petit conseil quelques exercices physiques mettant en mouvement bras ,jambes ,tronc, seront à exécuter les jours précédant . Quelques étirements aussi seront nécessaires en rentrant avant de se doucher.
Quelques gestes simples à retenir :
Afin de préserver la nature qui pourra ainsi continuer à nous procurer ces petits plaisirs.
Respecter les tailles minimales de prises et ne prélever que la quantité nécessaire et au maximum celle réglementaire.
Remettre les pierres retournées dans leur position initiale. Une pierre non remise met plusieurs années à se repeupler !
Reboucher les trous occasionnés » Eviter de pêcher les jours suivant de fortes pluies, l’eau qui ruisselle entraîne avec elle de nombreux pesticides qui vont hélas se diriger vers l’estran.
Connaître les horaires précis des marées.
Se renseigner sur l’état sanitaire de la zone à pêcher
Prévenir une personne de votre entourage de l’endroit de pêche et de l’heure de retour prévue.
Ne partez pas pêcher seul
Prévoir des vêtements adaptés et de rechanges
Eduquer votre entourage sur ces gestes et attitudes simples
Les vêtements :
Par temps de pluie, un vêtement imperméable ou le ciré est de rigueur. Suivant le type de pêche une combinaison en Néoprène. Le « Waders » protège jusqu’aux aisselles et permet de pêcher dans les mares d’eau et dans l’eau (Attention toutefois rempli d’eau, il fait couler, et rempli d’air il fait remonter les pieds en l’air !). Le jean est un pantalon idéal , robuste et suffisament épais pour assurer une protection contres les chutes sur les rochers.
Prévoyez de bonnes chaussures anti dérapentes. Les bottes sont idéales à condition de ne pas les remplir d’eau!
Il recèle des trésors qu’il faut apprendre à observer.
Avec plus de 300 km de côtes, l’ouest Cornouaille présente de nombreux faciès aussi bien sableux, rocheux ou vaseux. Cette diversité favorise l’implantation de nombreuses espèces : algues, crustacés, mollusques, vers, ….
Attendez la marée basse et surtout les grandes marées pour explorer cette richesse.
Sous le sable fin :
Lorsque la mer se retire, nos plages offrent un immense espace où l’on peut observer la vie sous le sable. Pour découvrir les habitudes des hôtes, dépistez les traces de leur passage : les petits trous et monticules laissés par les vers et les coquillages enfouis, les trous caractéristiques des tellines,…
Des techniques existent pour leur rappeler le retour de la mer et faire pointer leur coquille.
Les laisses de mer :
A chaque marée, l’océan dépose sur le sable un cordon de débris appelé
« laisse de mer ». Ce petit cordon regroupe les éléments abandonnés par les flots : végétaux (algues, bois flottés), animaux (carapaces de crustacés, enveloppe d’œufs de poissons de mollusques) ou minéraux (morceaux de coquillages, galets polis).
Déposé sur le haut de l’estran, les laisses deviennent un lieu de vie colonisé par de nombreux invertébrés. Elles offrent également un abri et un garde-manger à de nombreux oiseaux (mouettes, gravelots) mais aussi aux puces de mer et aux petits crustacés.
Dans cette bande, vous découvrirez, malheureusement, les déchets abandonnés par l’homme : bouteilles en plastiques, morceaux de filets de pêche, cannettes en aluminium…
Les baigneurs ne sont pas responsables de la pollution. Ce sont les bateaux les super tanguer qui passe au large, les plaisanciers qui jette leur poubelle en mer. Vous regarderez l’écriture sur les bouteilles ou autre détritus. Étonnant non ! ! !
L’estran vaseux :
Malgré des conditions de vie difficiles, des animaux et végétaux prolifèrent dans les vasières. Les multiples entonnoirs, trous et tortillons qui parsèment la surface sont autant d’indices de la présence d‘espèces enfouies sous la vase : coques, palourdes, oursins des sables ou encore annélides polychètes, bien connus des pêcheurs qui utilisent
ces « vers de vases » comme appâts.
Mais attention, victime de sur pêche, des secteurs de l’ouest Cornouaille comme l’île Chevalier sont interdits à la pêche à pied afin de renouveler le stock.
Des mares aux rochers :
Les flaques permettent de venir observer comme dans un aquarium la vie de ses hôtes. Petits poissons, crevettes, anémones, patelles,…, vivent, chassent, se déplacent en toute tranquillité. Mais les mares ne dévoilent pas l’ensemble de la vie sur l’estran. A l’abri sous les roches ou dans des trous, des espèces comme l’étrille, le tourteau ou l’étoile de mer se camouflent en attendant le retour de la mer pour se déplacer.
Conseils :
Quelques conseils pour partir découvrir l’estran en toute sécurité et respecter la faune et la flore :
Commencez la pêche à pied deux heures avant la fin de la marée basse.
Ne pas perturber les milieux : remettre les pierres retournées dans leur position initiale. Une pierre non remise met 4 années à se repeupler !
Connaître l’heure précise de la marée montante pour ne pas se faire surprendre.
Pierre vous donnera l’horaire des marées.
Estimer le temps pour retourner au point de départ afin de ne pas se retrouver bloqué par la marée.
Ne pas aller pêcher seul
Prévenir quelqu’un de l’endroit de la zone de pêche et de l’heure de retour prévue
Prévoir les vêtements adaptés
Ne garder pas trop longtemps les animaux hors du milieu naturel.
Respecter les tailles minimales de prises
Les facteurs physiques :
Lorsque le vent forcit, la pression exercée sur la partie montante de la sinusoïde (voir schéma précédent) augmente et peut provoquer un écrêtage du sommet de l’onde : ce sont les » moutons « .
Mais la Lune n’est pas la seule à provoquer l’effet de marée. En effet, le Soleil joue aussi un rôle attracteur pour les océans (son influence est quand même moindre que celle de la Lune). Suivant les configurations Terre-Lune-Soleil, on peut avoir différents types de marées :
– lorsque la Terre, la Lune et le Soleil sont alignés (pleine lune ou nouvelle lune), les attractions de la Lune et du Soleil s’additionnent provoquant des marées de vive-eau ;
– lorsque la Lune et le Soleil sont à angle droit (premier ou dernier quartier), leurs attractions s’opposent provoquant des marées de morte-eau.
Ainsi, les marées de vive-eau correspondent à la pleine lune et à la nouvelle lune, alors que celles de morte-eau interviennent lors des premier et dernier quartiers lunaires, assurant ainsi une rythmicité d’environ deux semaines entre deux maximums de vive eau ou deux minimums de morte eau.
Enfin, la morphologie des côtes et des bassins océaniques peut modifier l’amplitude des marées dans des bassins larges (par exemple la baie du Mont Saint-Michel) : un effet de résonance entraîne des amplitudes de plusieurs mètres entre marée haute et marée basse. A l’inverse, l’effet de marée est peu sensible dans certaines mers comme la Méditerranée.
l’étage médiolittoral correspond à la majeure partie de l’estran
l’étage infralittoral n’apparaît au bas de l’estran que lors des très grandes marées. Dans la zone concernée par notre étude, les peuplements observés lors de ces rares exondations peuvent se poursuivre jusqu’à une vingtaine de mètres de profondeur si l’eau est suffisamment claire.
On appelle marnage la hauteur (en mêtres, en pieds…) qui sépare le niveau de la pleine mer de celui de la basse mer. Le coefficient de marée, compris entre 20 et 120 est proportionnel au marnage.
Coefficient 120 : marées exceptionnelles de vive eau d’équinoxe
Coefficient 95 : marées de vive eau moyenne
Coefficient 70 : marées moyennes
Coefficient 45 : marées de morte eau moyenne
Les vagues qui abordent la côte de biais sont déviées et viennent se briser quasi-parallèlement à la côte. Cette légère déviation engendre des courants qui entraînent sable et galets devant elles.
On les retrouve dans toutes les mers du monde, mais également dans les dunes, forêts… Ils peuvent être carnivores ou herbivores. Différentes classes, en voici quelques unes :
(Chank, Saint Jacques, Bénitier géant . . .).
On trouve les bigorneaux au Port de Kérity n° 02, Saint-Pierre n° 04,
Plage de La Joie n° 06 les rochers n° 05 à PENMARCH.
Coque ou bucarde comestible ou rigadeaux (Cardium edule)
S’il y a un coquillage facile à ramasser, c’est sans contestation la bucarde, appelée généralement « coque ».
Attention, n’en pêchez pas plus que ce que vous pouvez en consommer, et enlever bien le sable qu’elle recèlent, pour que cela ne craque pas sous la dent. Vous en trouverez dans la vase mais les meilleures sont dans le sable.
Une bonne façon de les pécher : vous restez debout en piétinant sur place. Le sable humide se ramollit et les coques remontent à la surface, il ne vous reste plus qu’à les ramasser.
On trouve les coques Plage du Steir n° 03
On trouve les praires Plage du steir
La praire est un coquillage d’une grande qualité gustative, ferme et d’un goût iodé.
On la trouve en mer du Nord, en Manche, dans l’Océan Atlantique et en mer Méditerranée, sur les côtes sableuses.
La praire a une coquille solide, arrondie et épaisse, qui présente des stries concentriques caractéristiques.
Crue, on en apprécie tout le goût. Farcie, elle également très bonne.
La coquille jaunâtre de la praire présente des stries concentriques très marquées qui se transforment en tubercules latéraux.
La praire se nourrit en filtrant les particules contenues dans l’eau de mer.
Elle vit sur les fonds jusqu’à 100 m.
Les praires – le site:
n° 03 à PENMARCH. Plan n° 03.
Plage du Steir à Penmarch plan n° 03 : palourdes,coques,praires.
Saint-Pierre à Penmarch plan n° 04 : bigorneaux,étrilles,berniques.
Plage de La Joie à Penmarch plan n° 06 : bigorneaux,crevettes. Crabes.
français « officiel » : telline
français du nord : olive, haricot de mer
français du midi : tanille, tenille, truille
espagnol : coquina
grec :
(DELG) ne parle pas de la telline (!) mais évoque la patelle (Patella cærulea) ou le
Victor Hugo a écrit:
κοχύλι
italien : tellina (toscan : arsella)
anglais : wedge shell
tunisien : loubya
(d’après Alan Davidson, Poissons de la Méditerranée, p. 157. Je laisse les spécialistes faire les corrections éventuelles, en particulier pour le grec où le nom donné ici n’est que le générique « coquillage »)
Son nom viendrait du grec ancien τελλίνη (tellinè), nom de coquillage peu attesté. Chantraine ξιφύδριον
LlaOn trouve la telline sur la plage de TREGUENNEC. Plan n° 01.
La palourde est un coquillage qui possède un long organe tubulaire à orifices d’entrée et de sortie séparés qui va jusqu’en surface pour pomper l’eau riche en éléments nutritifs (phytoplancton). Sa pêche, bien que très simple, demande toutefois un minimum de connaissances, étant donné qu’il faut savoir reconnaître les marques laissées en surface par le coquillage quand il s’enfonce dans le sable. On peut bien sûr effectuer une recherche au hasard en grattant systématiquement le sable, mais cela supprime tout le plaisir de cette pêche… On distinguera dans ce dosiser 2 espèces de palourdes, que l’on nommera « à tord » « mâles » et « femelles », noms souvent donnés à ces 2 espèces dans l’est du Cotentin (je suis preneur des noms
Matériel utilisé :
On utilise en général une fourche à 2 branches, appelée tout simplement « fourche à palourde ». Mais il est également possible d’utiliser rateaux, pelles et autres accessoires, provenant généralement du jardinage.
Vous devrez également vous munir d’un panier où vous déposerez vos palourdes. Je vous conseille vivement de les recouvrir d’algues humidifiées afin qu’elles se conservent pendant la partie de pêche, surtout en période de fortes chaleurs
Une casquette permet également d’éviter les insolations… 🙂
Attention aux personnes qui souffrent de problèmes de dos, cette pêche n’est pas pour elles (vous devrez souvent vous baisser pour mieux détecter les marques…)
Les meilleurs coins :
La palourde aime les fonds vaseux et sableux, spécialement avec beaucoup de cailloux. Vous la trouverez donc tout particulièrement dans les zones de sable entre des couloirs de roche. La proximité des parcs à huîtres est souvent propice à la présence de ce coquillage.
La technique de pêche :
Les palourdes se pêchent à marée basse, sur l’estran, lorsque les fonds où elles reposent se découvrent. Elle sont alors enfoncées dans le sable et l’on peut les repérer grâce aux marques qu’elles laissent en surface. Notez bien que les palourdes « mâles » et « femelles » ne laissent pas la même marque sur le sable. Voyons déjà le cas des palourdes dites « femelles », les plus répandues. Elles forment une marque en 8 à la surface du sable, facilement reconnaissable :
Derniers conseils :
Un conseil, évitez de ramasser les palourdes que vous trouverez à même le sol, elles peuvent être malades et vous prendriez le risque d’une intoxication alimentaire…
La palourdes le site:
On la touve sur la plage de Kérity n° 02, et du steir n° 06 à PENMARCH. Plan n° 01.
coquille est conique avec l’apex émoussé. Sa surface est striée de côtes grossières irrégulièrement réparties et le bord est dentelé. La bernique épouse la forme de la roche sur laquelle elle vit, ce qui lui permet de conserver de l’eau de mer dans sa coquille lors des marées basses et lui évite de se dessècher. Sa couleur externe est gris verdâtre et elle est souvent couverte de petits crustacés, les balanes. L’intérieur est lisse et jaunâtre. La patelle se nourrit d’algues qu’elle broute sur les rochers grâce à sa puissante radula.
Elle vit sur les côtes rocheuses dans la zone des marées en Altlantique, Manche, Mer du Nord et Méditerranée.
Appelés également patelles ou chapeaux chinois par les enfants, les berniques abondent largement à marées basses sur les côtes bretonnes.
Nul besoin d’être un fin limier pour traquer et collecter ce mollusque à chair extrêmement ferme qu’il conviendra au préalable d’attendrir (en le martelant) avant de le consommer grillé ou passé à la moulinette avec de l’ail et du persil puis revenu à la poêle accompagné d’un morceau de beurre.
S’il est besoin de vous communiquer quelques techniques de ramassage, celles-ci peuvent être multiples mais non toutes sans danger.
La première technique employée si vous n’êtes doté d’aucun outil consistera à décoller le bernique de son rocher à l’aide d’un léger coup de pied ou de galet asséné sur le côté de l’animal. Attention toutefois, veillez à ne pas frapper trop fort sous peine d’éjecter à plusieurs mètres l’animal désiré.
Une seconde technique couramment employée consiste à décoller l’animal en insérant une lame de couteau entre la coquille et le rocher. Sans doute moins sauvage et brutale que la première technique énoncée, celle-ci n’en demeure pas moins plus risqué en cas de dérapage inopinée de la lame du couteau.
Les Berniques – le site:
On trouve les berniques sur les rochers n° 05 ,
Saint-Pierre. n° 04. à PENMARCH
En France, on consomme surtout quatre espèces de crabes :
– l’araignée de mer qu’on trouve dans les fonds marins sablonneux.
– le tourteau qu’on pèche dans les fonds rocheux et sablonneux.
– le petit crabe vert qu’on trouve jusqu’à 200 m de profondeur dans l’océan Atlantique.
– l’étrille qu’on aperçoit partout.
En général, on trouve les crabes dans les zones rocheuses, dans les algues ou dans les mares. Avant mutation, ils restent sous les rochers. Puis, ils se déplacent vers les mares où ils laisseront leur ancienne carapace attendant la marré montante pour retourner se cacher sous les rochers. On reconnaît un crustacé en pré-mutation à l’état de sa carapace au niveau des pattes : elle se détache.
La récolte sera plus fructueuse juste avant la basse mer, si le soleil a bien tapé, et que personne n’est passé.
Les crustacés se pêchent aussi à l’aide de casier, cylindre de grillage où les crustacées entrent mais ne peuvent pas sortir. Les casiers sont immergés dans une mare et un marais. On y aura préalablement placé un appât à crabes.
Attention, on prend les crabes par les côtés (droite/gauche) jamais par l’avant ou par l’arrière car ils risquent de pincer.
N’ayez pas peur d’en abuser car le crabe est bon pour la ligne et le tonus, riche en minéraux et oligo-éléments et favorise le bon fonctionnement du système nerveux.
Les crabes – le site:
On trouve les crabes sur la plage de la joie à PENMARCH. Plan n° 06.
– 10 – Les Bigorneaux :
Entre bigorneaux gris à la coquille brun-verdâtre et au pourtour de la bouche blanc nacré, bigorneaux blancs à l’aspect jaunâtre ou brun clair et bigorneaux noirs reconnaissable à leur coquille de forme arrondie et à leur couleur noire franche, seule sera collectée cette dernière variété.
Vivant en groupe sur les parois verticales des rochers ou parmi les algues qui y sont accrochés, la collecte des bigorneaux noirs s’opèrent à la main et à marée basse au plus près de la mer, soit sur les rochers, soit à leur pied.
A l’instar de toute cueillette ou ramassage, nous vous recommandons de privilégier les individus de bonnes tailles et de relacher les petits spécimens.
La Nacre
Les Camées
Corculum Cardissa ou la coquille en forme de coeur
Le murex Pecten ou le peigne de Vénus
Cypraea Aurantium
Les coquillages mortelsLes VolutesLes MurexLes Cônes
Les PorcelainesCoefficient 20 : marées de morte eau les plus faibles
Quand la houle s’approche de la côte, lorsque la profondeur est approximativement égale à la demi longueur d’onde, la vague déferle, formant ce que l’on nomme habituellement des rouleaux.
La houle est provoquée par l’action du vent sur la surface de l’eau. Ramené à l’échelle de la molécule d’eau, il s’agit d’un mouvement circulaire. En pratique, compte tenu des frottements, il y a un léger déplacement des molécules dans le sens du vent.